L’essentiel à garder en tête : le chemin se vit à son rythme
Marcher à 65, 75 ou même 85 ans sur Compostelle, c’est possible, mais cela demande d’écouter son corps, de prévoir ses besoins et d’oser demander de l’aide. Chaque étape mérite d’être savourée sans urgence, sans se mesurer aux autres ou à son passé. Sur le chemin, le plus beau des compagnonnages, c’est peut-être celui que l’on accorde à son propre corps, en acceptant ses limites et ses forces nouvelles.
N’hésitez pas à venir discuter de vos appréhensions, à partager vos doutes ou vos questions à Gradignan ou sur ce blog. Le chemin commence toujours par une écoute – celle du cœur, du corps, et parfois, des conseils d’un autre marcheur passé juste avant vous.
Sources : INSERM, INSEE, Santé Publique France, Fédération Française de Randonnée, Ameli.fr, France Alzheimer, Société Française de Gériatrie, Fondation de France.